Tu comprendras pourquoi la forme alexandrine
s'impose je te loue ! et je cite à l'appui
de ma thèse ta peau, ton nez, tes yeux et puis
tes mains ; sans oublier tes lèvres purpurines !
Je cite tes cheveux de teinte éblouissante,
que même le plus doué parmi tous les Arthurs
ne saurait mieux décrire que moi qui suis sur
tes genoux, bien assis : rousseur envahissante !